Ils sont des millions à travailler dans les rues des villes indiennes auxquelles ils apportent vie et animation.
Les services qu’ils proposent recouvrent toutes les envies, mêmes les plus farfelues !
Revue non exhaustive des "wallahs".
Depuis novembre 2014, l'ayurveda est promue par le ministère du Yoga fondé par le Premier ministre Narendra Modi.
A cette occasion, Arte a consacré à cette médecine alternative un remarquable documentaire.
Le voici.
La Holi, appelée fête des couleurs, ou Phalguna, est une fête indienne célébrée vers l'équinoxe de printemps. Elle trouve son origine dans la Vasantotsava, à la fois un sacre du printemps et célébration de la fertilité. Elle est fêtée dans toute l'Inde (et dans les pays étrangers où demeurent des communautés indiennes) durant deux jours au cours de la pleine lune du mois de Phalguna qui se situe en février ou mars.
La Holi est dédiée à Krishna dans le nord de l'Inde et à Kâma dans le sud. Holi est une des célébrations les plus anciennes en Inde. Elle existait déjà dans l'antiquité.
Si l'on se réfère à la tradition hindoue, chaque aspect de la vie de l'homme est définie et agencée en fonction des époques et de leur finalité. L'homme et la femme doivent garder en tête quatre buts à atteindre. Kâma, le désir fait partie de ces objectifs assignés à l'homme, au même titre que Dharma, le devoir et d'Artha, l'acquisition des biens. Ces trois objectifs sont mis au service d'une finalité suprême la Moksha, la libération. Ces quatre « purushartâ » (buts) constituent donc la trame directrice que les hommes et femmes doivent toujours garder à l'esprit dans la réalisation de leurs tâches quotidiennes. Dans cette optique classique, Kâmaconcerne les plaisirs et l'exploration des sens susceptibles de libérer toute la saveur des jouissances terrestres, tout en conservant la sphère des devoirs humains et l'acquisition des biens en toute éthique.
Le sādhu (du sanskrit साधु sādhu, « ayant atteint son but, homme de bien, saint homme » est, en Inde, celui qui a renoncé à la société pour se consacrer à l'objectif de toute vie, selon l'hindouisme, qui est le moksha, la libération de l'illusion, l'arrêt du cycle des renaissances et la dissolution dans le divin, la fusion avec la conscience cosmique. En tant que renonçants, ils coupent tout lien avec leur famille, ne possèdent rien ou peu de choses, s'habillent d'un longhi, d'une tunique, de couleur safran pour les shivaïtes, jaune ou blanche pour les vishnouites, symbolisant la sainteté, et parfois de quelques colliers. Ils n'ont pas de toit et passent leur vie à se déplacer sur les routes de l'Inde et du Népal, se nourrissant des dons des dévots.
Au-delà de la recherche spirituelle, les raisons qui poussent à choisir la vie de sādhu peuvent être diverses : fuir sa caste, échapper à une situation familiale pénible, à une situation économique calamiteuse, mais aussi pour une femme à l'infamie du veuvage, ce qui fait qu'il existe, bien qu'en nombre bien moindre (10 % de la population sādhu), des sādhu femmes ou sādhvī (साध्वी sādhvī).
Voici un record qui réjouit la planète :celui que l’Inde vient de battre cet été : 66 millions d’arbres ont été plantés par 500 000 Indiens… en douze heures seulement ! Lumière sur une performance impressionnante, utile et exemplaire.
Les raisons de l'engouement des Indiens pour le cricket sont nombreuses, la principale étant la domination indienne au niveau international. En ses 60 années d’existence, le plus grand succès indien reste la victoire en coupe du monde de 1983, donc les indiens sont encore très fiers. Les autres succès en coupe du monde et tournois internationaux a beaucoup à voir avec l’énorme popularité du cricket en Inde.
Il existe en Inde, principalement dans l'Etat du Rajasthan, une communauté, créée au 15ème siècle, dont les membres préservent toute forme de vie et ont une conscience écologique avancée : ce
sont les Bishnoïs.
Les femmes bishnoïs sont connus pour allaiter au sein de jeunes antilopes et pour lutter activement contre le massacre de leurs arbres.
Les vêtements traditionnels ne sont pas des vêtements folkloriques. Ils sont quotidiennement utilisés aussi bien pas les hommes que par les femmes.
Petit tour d'horizon.
Le Râmâyana, c'est-à-dire « le parcours de Râma», est la plus courte des deux épopées mythologiques de langue sanskrite composées entre le IIIéme siècle avant J.C et le IIème siècle de notre ère. Constitué de sept chapitres et de 24 000 couplets (48 000 vers), le Râmâyana est, comme le Mahâbhârata, l'un des textes fondamentaux de l'hindouisme et de la mythologie hindoue. Le poème est traditionnellement attribué à l'ermite légendaire Valmiki.
Le Om ou Aum a une importance primordiale dans l'Hindouisme. Ce symbole est une syllabe sacrée représentant Brahma, l'impersonnel Absolu - tout-puissant, omniprésent et source de toute
l'existence manifeste. Brahma, en soi, est incompréhensible; il est obligatoire donc d'avoir un symbole pour nous aider à comprendre l'Inconnaissable.
Tout le monde le sait, en Inde, le cliché des clichés, c’est la Vache ! C'est une image si forte qu'on ne peut lui mettre que la majuscule. Souvenez-vous de Tintin
et du capitaine Haddock aux prises avec cet animal récalcitrant qui bloque leur taxi dans une rue de New Delhi : " Vache sacrée Sahib… Ne pas déranger.. Toi attendre elle s’en aller. " Et c’est
vrai, elles sont bien là, les vaches, à déambuler avec assurance et nonchalance dans les rues des villes, même des plus grandes, des plus modernes comme Bangalore, mais même à Pondichéry. Elles
adorent tout particulièrement le terre-plein qui sépare les quatre voies des routes principales ou "autoroutes". Elles s’y étendent en plein milieu, et y ruminent à l’aise ; le va-et-vient
incessant des automobiles à leur côté chasse les mouches qui les tourmentent habituellement. Tout cela est vrai, authentique, véridique et quotidien...normal en
Inde.
Le 5 septembre, est célébrée la fête du dieu Ganesh, le dieu à tête d'éléphant, sans doute le plus vénéré en Inde.
Quelques explications...
Depuis la parution du livre de Navi Radjou, le monde occidental entrevoit une autre façon d'innover.
Explications :
Le Raksha bandhan est une fête indienne qui célèbre le lien de fraternité qui unit deux êtres humains, qu'ils soient frère et sœur dans la vie de famille, ou qu'ils soient de sincères amis, comme frère et sœur. Ce lien est représenté par un petit cordon que la sœur attache au poignet de son frère et demande sa protection à l'occasion de ce jour particulier.
Le mehndī désigne habituellement l'art du dessin fait au henné sur la peau.
Le mehndi est un équivalent éphémère du tatouage. Il est encore ou était populairement utilisé dans certaines parties de l'Asie.
Au Bangladesh et au Cachemire, cette forme d'art corporel est utilisée lors des mariages pour les deux jeunes mariés.
Au Rajasthan (Inde du nord-ouest), le mehndi est un art « folklorique », et il est courant que les femmes se fassent des dessins aussi raffinés que ceux des jeunes mariés.
Le 15 août 1947, l'Inde accédait à son indépendance.
Explications et quelques photos de la fête.
Navi Radjou, français d'origine indienne, consultant en innovation, actuellement installé dans la Silicon Valley, a beaucoup fait pour populariser cet état d'esprit dont la dénomination, "jugaad", vient d'un mot hindi signifiant "savoir se débrouiller et trouver des solutions dans des conditions hostiles".
Conseil de lecture :
Une ONG américaine l'affirme : alors que le mode de vie de nombreux pays occidentaux mettent en péril les ressources naturelles de la planète, le mode de vie des Indiens les préservent.
A méditer après avoir regardé cette petite vidéo diffusée sur une chaîne de télévision française...
Connaissez-vous le cureur d'oreilles ?
Des petits boulots, en Inde, il y en a à la pelle. Très probablement une conséquence du système D pour gagner de l’argent comme on peut. Du vendeur de bananes au gonfleur de pneus en passant par le vendeur de thé (prononcez « chaï ») au coin de la rue, ce ne sont pas les opportunités qui manquent. Mais certains métiers surprennent plus que d’autres, des métiers qui n'existent qu'en Inde...
Vous l'avez sans doute remarqué : rares sont les repas indiens qui ne sont pas accompagnés de riz.
Cette céréale est la base de la cuisine indienne.
Quelques explications...
Les couleurs jouent un rôle important dans la vie des Indiens.
Elles ont une signification qui parfois nous échappe.
Voici un petit guide qui vous aidera à vous y retrouver.
Que diriez-vous d'un petit tour dans les étoiles ?
De Jaipur à Vârânasî, cette vidéo vous invite à découvrir l'astronomie et l'astrologie indiennes.
Les règles de politesse en Inde sont très différentes des nôtres.
Il est bon d'en connaître quelques-unes pour voyager dans le sous-continent.
Voici une petite vidéo de France 2 qui vous en apprendra l'essentiel.
Vous vous égarez un peu dans la foule de dieux hindous ? C'est normal...
Pour vous aider à vous y retrouver, voici une petite vidéo.
L'āyurveda ou ayurvéda ou encore médecine ayurvédique est une médecine traditionnelle originaire de l’Inde, également pratiquée dans d'autres parties du monde. C'est une médecine non conventionnelle. L'ayurveda puise ses sources dans le Véda, ensemble de textes sacrés de l'Inde antique. ...
L'Inde est une république fédérale qui combine un système parlementaire fondé sur le suffrage universel et l'existence de droits particuliers pour certaines castes.
La vie politique indienne est marquée par des tensions entre ses tendances centralisatrices et séparatistes, des tensions communautaires et des inégalités de revenus. Les contrastes particulièrement marqués de l'Inde ont été résumés, dans les années 1960 par cette formule de l'ambassadeur et économiste américain John Keineth Galbreith : « L'Inde est une anarchie qui fonctionne ».